Cette première session a eu lieu le dimanche 18 juin, de 10h à 17h, sur EU (76)

Les 4 disciplines étudiées - augmentée d'une dernière sous forme de surprise - avaient, en fait, pour but de démontrer la polytechnie AMF qui les unit par leurs principes transverses - déplacements, directions, ciblage, bio-mécanique...-




Le principe de base a été respecté : On s'entraine ensemble 4h environ sur la journée (PugilatS) en extérieur, et on mange ensemble le midi de manière conviviale (Chipolatas)

[ le concept complet, ici ]


Cette journée de stage nous a donc permis de réaliser un voyage martial combiné depuis l'épopée Napoléonienne jusqu'à la première moitié du 20e siècle à travers 4, non, 5 ateliers. 

Seuls Bruno et Philippe avaient répondus présent, ce qui au final, est un avantage, car mieux vaut une petite épicerie bien achalandée ou chacun trouve ce qu'il vient chercher qu'un super-marché standardisé et surpeuplé.

Nous avons démarré, après l'échauffement par le parcours Santé du château de EU (ah, Hébert, quand tu nous tiens) par un atelier de découverte du sabre d'infanterie et de marine (les deux armes, sabre d'abordage et sabre-briquet ayant la même dimension, peu s'en faut). Le bonus a été amené par la pratique du combiné pistolet/sabre inspiré par les traités de Bouët-Willaumez et de Willliam Pringle Green (cette thématique permettait d'arriver sur un travail d'ambidextrie et de changement de garde, que nous allions retrouver dans le pugilisme juste après).










Puis, reprise des trajectoires du sabre par l'expérimentation des percussions manchettes (avant-bras) et main, sans armes ; Pugilisme avec le principe "ta main est la pointe, ton avant-bras est le tranchant". Nous avons donc transféré le travail du sabre aux mains-nues, avec un début d'approche des clés de l'après-midi, dans le timing










13h arrivant, go au barbecue !

le nom de la bière est prédestiné, non ?

la fine équipe en profondes réflexions martiales



Reprise vers 15h par un atelier "dégagement de saisies" (en lien avec les percussions-manchettes de la matinée), clés articulaires (doigts, poignets, coude) et amorces de projections, selon les principes du jiu-jitsu et des traités de CAC de la première moitié du 20e siècle. 




Enfin, Canne, avec des désarmements, dans la foulée d'enchainements dynamisés.