
...quand on essaye de lancer un programme de sessions d’entraînements, ou de cours et que le public n'est pas au rendez-vous ?
Soit on se lamente, soit on se dit qu'il faut le prendre comme le signe que ce n'était pas la bonne méthode et qu'en 2020, peut-être que les gens ont plus de mal à sortir de chez eux...
Donc, allons vers les gens !
Et comme dans le coin, il n'y a ni Aïkibudo, ni kobudo, ni canne, ni savate... Que faire ?
Et bien, on va vers le tissu martial local !
Voilà donc deux ans que je vais au club de kendo/iaido de Friville - plutôt pour le iaido, d'ailleurs... très intéressant - et depuis peu, au cours de ...karaté de Eu, en Seine-Maritime.
Découverte intéressante
(qui me rappelle mes premières années de pratique, eh oui !), avec un club bien dynamique et un enseignant, Laurent, charismatique et ouvert d'esprit.
"
Ichi go, ichi e"
La région est, en fait, "noyautée" par le karaté Wado-ryu, style inspiré en partie par d'un ju-jutsu classique
(Shindō Yōshin-ryū > voir, là, la connection avec le Wado ryu)... donc, avec des principes "pas si éloignés que ça" de l'Aïkibudo
- en tant que style de ju/aiki-jutsu -
Quelque part, j'y retrouve mes petits...
De plus, il semble que les pratiquants de Eu, soient intéressés par les pratiques d'armes
- kenjutsu, iaï et tanjo, voire naginata... - ;
Il y a, alors, peut-être moyen d'organiser des sessions privées pour ce club...
Cela me permettrait, alors de
re-lier mon projet à la réalité locale. et donc, de rebondir
Ne pas baisser les bras !
A suivre, donc...