Première séance de la saison froide, après les "Pugilats et Chipolatas" de l'été. 
Nous avons décidé, cette année, de passer à des sessions plus régulières avec une séance mensuelle, le dimanche matin. 
Pour l'occasion, nous avons construit une "petite salle d'armes" dans le jardin, au cas où la pluie ferait son apparition (une armature bois simple permettant de mettre en 2 minutes une bâche si besoin. 12m2 de surface couverte en plus). 

Nous retrouvons pour cette première session de cette nouvelle formule, Bruno et François (Phil n'ayant pu se joindre à nous cette fois-ci). 

Nous avons travaillé 3 ateliers transversaux : Escrime - canne - pugilisme

La transversalité s'est faite par les déplacements, les gardes et les préparations d'attaque travaillées (battement et froissement, avec leurs spécificités /adaptation à chacun des ateliers )
La défensive s'est travaillée surtout par les déplacements, ainsi que par la notion de parade-riposte (immédiate ou à temps perdu selon les thématiques choisies)... ahh, le petit coupé qui perturbe !
la notion de "prudence" a été mise en exergue : On ne touche que lorsque l'on a maximisé ses chances de toucher (par une préparation efficace et/ou un déplacement efficace), ainsi que la "précision" (bonnes postures équilibrées, bon ciblage, bons déplacements, concordance/discordance ajustée des rythmes)

Les innovations de ces ateliers :

  • l'utilisation de répliques d'épée 18e siècles, pour les sensations de poids et d'équilibre de l'arme, pendant le démarrage "déplacements + postures" - la pratique par deux se faisant au moyen de simulateurs plastique (quasiment pas de protection, donc un travail plus réaliste en terme de vision et de mobilité, ainsi qu'un contrôle accru lors de la touche)
  • la pratique "sans gants de boxe" pour mettre en avant la petitesse des mains nues - une main sans gants ça se glisse plus facilement qu'un gant de boxe, ça se voit moins - , ainsi que le contrôle du poignet dans les directs
  • la logique de la convention dans l'apprentissage

























" voilà, c'est tout pour cette fois "