J'ai des curiosités dans ma bibliothèque...
Des ouvrages qu'on lit, qu'on oublie, voire qu'on rejette.
Puis, parfois, le temps fait son oeuvre, on évolue, et on redécouvre que finalement, cet ouvrage que l'on a trouvé "publicitaire et prétentieux" a des saveurs cachées, et peut finalement paraître "novateur", eu-égard à son âge.
Publié en 1976, cet ouvrage relate la réflexion d'un homme, qui, sans être précurseur des AMHE, sans avoir peut-être la rigueur de recherche que l'on souhaiterait y trouver, pose une vision neuve à son époque sur les Arts Martiaux et les Sports de Combat Occidentaux.
Sans doute partiale et faussée... dans tous les cas "habitée". La volonté de "prendre l'esprit des Arts Martiaux d'Asie", dans ce qu'ils ont de formateurs au-delà du seul aspect technique, pour l'adapter à ce que l'auteur pense être l'esprit des anciens Arts Martiaux Occidentaux. Et en replacant le tout dans une perspective moderne - pour les années 70 ! -
Il y a plusieurs parties dans son ouvrage, je vous livre ici celles que je trouve les plus intéressantes et propices à la réflexion
Elles arriveront en plusieurs phases, à mesure que je les scanne. Pour des questions "de droit", l'intégralité de l'ouvrage ne sera pas scanné.
Tout d'abord, sa réflexion sur le sabre japonais et ses apports dans la formation du "pugiliste moderne"
Ce que je retiens, surtout, ici, est la notion de transfert de la "pureté technique" du ken vers l'Occident.
... et, pour moi, surtout dans les apports "iai-jutsu".
... et, pour moi, surtout dans les apports "iai-jutsu".
Le iai représente vraiment quelque chose "que nous n'avons pas" et une dimension technique, tactique et stratégique qui, à mon sens, manque - ou a été oublié - dans les arts martiaux occidentaux.
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